vendredi 20 juillet 2012

UNE TUNISIENNE LIBRE et qui TIENT à le RESTER !


Lu sur Facbook, l'histoire d'une tunisienne qui a pris un taxi. 
Elle est tombée sur un chauffeur barbu, qui se révélera par son discours être salafiste.

En cours de route le chauffeur avec un regard désapprobateur et inquisiteur, lui fait une remarque désobligeante pour sa "nudité" parce que non voilée. 
D'un ton docte il l'informe qu'elle brûlera en enfer si elle ne se "couvre" pas !
Nullement impressionnée, la dame lui rétorque de quel droit se croit-il autorisé pour l'interpeller sur sa foi ? 
En quoi cela le regarde qu'elle soit juive, chrétienne ou musulmane ? 
Elle lui rappelle qu'elle loue son service qui consiste de la prendre d'un point A pour la déposer à un point B. Point c'est tout ! Le reste ne le regarde pas !

Le regard du chauffeur devenant haineux, elle a eu le bon réflexe d'ouvrir la portière et de vite descendre. 
Se trouvant en plein milieu d'une pose "clope" d'employés, elle lui demande de la suivre au poste de police.

Intimidé mais dépité, le chauffeur lui demande de lui payer le prix de sa course. En colère elle lui propose un billet pour l'enfer ou pour l'Afghanistan ! Elle insiste qu'il la suive au poste de police. 

Devant son refus, elle claque la portière du taxi et donne un coup de pied dans la carrosserie. Le chauffeur ne demandant plus son reste, file la queue entre les pattes.

Moralité : tout barbus qu'ils soient, les barbus pris individuellement, ne sont que des couillons et des lâches.
Leur force ils la tiennent de la meute comme les chiens, quand ils sont en bande !

Bravo à cette dame ! Son courage pour résister aux pressions des salafises-wahhabites et son amour pour sa liberté lui ont dicté la bonne conduite, comme à sa soeur Khaoula Rachidi qui a défendu courageusement le drapeau tunisien quand des salafistes abrutis de bêtises ont voulu le remplacer par leur chiffon noir.

La Tunisie a besoin de telles tunisiennes fières et patriotes pour résister au venin wahhabite que diffusent Ghannouchi et ses hommes dans la société tunisienne.


Rachid Barnat

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